Sujet: ascenseur pour l'échafaud (ester) Mer 16 Sep - 16:22
Ester « Yann » Jankovic “La colère, ça fait vivre. Quand t’es plus en colère, t’es foutu.”
come drink the water
• âge › 27 ans • date et lieu de naissance › 15 septembre 1980, Jarinje (Kosovo) • nationalité › Serbe, naturalisée américaine • profession › Sous-lieutenant de l'US Army en retraite anticipée • orientation sexuelle › Confuse • situation amoureuse › Bordélique • situation financière › La retraite couvre assez, ainsi que ses primes diverses et ce qu'on lui verse à titre de dédommagement pour les traumatismes subits. Elle a plus d'argent qu'elle en a besoin. • et vivre à la nouvelle-orléans, ces derniers temps, c'est comment ? › Ici ou ailleurs, ça ne changeait rien, du moment qu'il y avait un continent quasiment entre ceux qu'elle connaissait d'avant et qu'elle voulait oublier. Elle n'a pas connu Katrina, mais elle est arrivée avec ses propres démons. Elle ne s'attendait pas à ce qu'un taré teste sa volonté de vivre en la confrontant, encore, à la mort de bien trop près. Elle serait déjà partie, à nouveau, si ce n'était pas pour Saul et Sam. Ils sont là, c'est la seule bonne raison pour rester. • groupe › flesh and bones (neuvième session). • célébrité › lyndsy fonseca • crédit ›fuckyeahlyndsyfonseca
some kind of madness
Surnommée Yann, diminutif de son nom de famille, quand elle était dans l'armée, plus personne n'utilise ce surnom. C'est d'ailleurs son nom de jeune fille, malgré son mariage, elle n'a jamais utilisé le nom de famille de son mari, plus par habitude qu'autre chose. • Elle est arrivée aux Etats-Unis âgée de 12 ans, ses parents fuyant alors les tensions du Kosovo. Elle a été naturalisée américaine quelques semaines après avoir fini ses études au lycée. Ca lui a permis de rejoindre l'armée dans sa patrie d'adoption. • Elle est mariée, mais elle n'a plus revu son mari depuis presque un an. Elle l'a foutu à la porte après son retour du front en 2006, avant de tout quitter pour la Nouvelle-Orléans. Le divorce n'est pas prononcé, puisque qu'aucune démarche n'a été lancée d'un côté comme de l'autre. Elle ne porte plus son alliance, mais elle l'a conservée. • Elle a d'ailleurs coupé les ponts avec presque tout le monde après être rentrée d'Afghanistan, et depuis la session, elle n'a plus parlé à personne : la seule personne qu'elle continue de voir régulièrement, c'est le psychiatre. Et elle n'y retourne que pour ses précieuses prescriptions de médicaments. • Elle est partie sur le front, initialement comme faisant partie des équipes médicales, mais elle s'est rapidement retrouvée une arme à la main. Son grade, par contre, lui a été donné à titre honorifique, elle n'a jamais eu a en gérer le poids (un moyen de la faire taire au sujet de son implication réelle sur le front)• Elle voulait retourner sur le front, mais le thérapeute n'a jamais donné son accord, la jugeant trop instable. • Puis il y a eu la session, ce qui a achevé de la briser. On lui a offert son grade à titre honorifique, quelques pensions de plus et la couverture totale de ses frais médicaux pour qu'elle accepte sa retraite anticipée. • Elle se rassure comme elle peut en se réfugiant dans une vie routinière • Elle a gardé son ancien logement, mais n'y vit plus et n'y a plus mis les pieds depuis des mois. Elle a déménagé chez Saul un mois après leur sortie de l'hôpital • Ester jure systématiquement en serbe. • Elle a toujours un flingue a proximité d'elle. • Éduquée dans la tradition orthodoxe, elle marque certains rites importants de l’Église Orthodoxe, et se rend parfois à l'église. • Elle court tous les matins, sans exception, et récite comme une litanie rassurante le Notre père et le Credo. • Ses nuits sont agitées, elle ne dort presque plus, et quand enfin elle cède au sommeil, c'est pour se réveiller pantelante et en hurlant. • Elle a juré de retrouver le connard qui leur a fait ça, et de lui tirer elle-même une balle entre les deux yeux. Se concentrer sur cette vengeance lui donne une raison de plus de s'accrocher. • Elle a encore beaucoup de mal à admettre que ses sentiments vont à la fois pour Sam et pour Saul. • Elle picole bien trop, bois trop de café, diffuse constamment du jazz dans la maison, en fond sonore, elle a donné un libre accès à ses compte à Samira et Saul. • On trouve une icône de la Vierge Marie près de son lit. • Elle porte continuellement les pulls de Saul, ça la rassure. • Quand elle n'arrive pas à dormir et qu'elle a besoin de s'évader, elle enfourche sa moto et se barre sur l'autoroute à toute vitesse. • On trouve dans la remise qu'elle utilise pour chambre des cartons entiers de livres qu'elle n'a toujours pas déballé. Elle a donné les clefs de son appartement à Lowell et Louis, et ils se sont chargés de les lui rapporter. • Elle est devenue agoraphobe et fuit avec application les transports en commun et les lieu fermés avec trop de monde. La maison est la seule exception à la règle : quand bien même c'est petit et toujours plein a craqué de monde, elle s'y sent suffisamment en paix pour qu'elle ne se sente pas oppressée. • Elle cuisine souvent, la nuit : il y a toujours quelque chose à manger chez Saul, que ce soit sucré ou salé.
pursuit of happiness
• pseudo › Sedna • âge › majorité révolue • pays › france • comment as-tu découvert le forum ? › on m'a racolé • un dernier mot à nous dire ? › écrire ici
J'atteste par ailleurs qu'en créant ce personnage, je l'expose au danger d'être mis à l'épreuve par le Tueur au Puzzle.
○ recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)
Code:
<bottin>○ ester</bottin>
○ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)
Code:
<bottin>○ jankovic</bottin>
fiche (c) elephant song.
Ester Jankovic kill of the night
○ messages : 50
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Mer 16 Sep - 16:24
in life we can't be free
L'angoisse lui vrille les tripes et lui noue la gorge. Et déjà, elle lutte, elle lutte contre elle-même, pour maintenir sa conscience à fleur d'esprit, mais le cauchemar reste trop prenant. Alors, elle s'agite dans son sommeil, et le souffle commence à lui manquer cruellement. Déjà, des sanglots l'agitent, alors qu'elle dort encore, pourtant ; de lourds sanglots chargés de toute la peur qui lui ronge l'esprit depuis des semaines. Elle agonise lentement, chaque fois qu'elle cède au sommeil, les démons qui la hantent revenant inlassablement. Et quand elle sent une main lui agiter l'épaule, l'hystérie la prend toute entière. Elle ne retient pas son hurlement, qui déchire le silence de la maison, et sûrement du quartier. Et, pas tout à fait endormie, pas tout à fait consciente, elle attaque l'agresseur avec une rare violence. Et chacun de ses mouvements n'a pour but que de tuer, de réduire au silence l'ennemi, quand même bien même il ne lui voulait sûrement aucun mal. Ester est à cet instant, guidée uniquement par la terreur et la détresse. Ça la submerge totalement, et elle n'a pas les armes pour contrer cet asaillant, ce monstre qui vit en elle et qui se nourrit de son désarroi et qui devient, chaque fois, plus fort. Bientôt, elle le sait, elle ne pourra plus le repousser, et il l'engloutira toute entière. Alors en attendant, elle lutte avec l'énergie du désespoir, et elle met toutes ses forces et bien plus dans cette lutte. Si elle ne résiste pas, elle va crever, Ester en a l'intime conviction. Elle va crever lentement, tandis que l'être qui réside à présent en elle assoira son pouvoir et fera d'elle son pantin, une créature sans plus aucune volonté, sans plus aucun désir, sans plus aucun sentiment. Il fera d'elle une vivante en sursit, attendant le véritable trépas. Et Ester est sûre d'une chose. Elle veut vivre. Elle a des raisons pour rester, pour s'accrocher, même si a l'instant elle ne s'en souvient pas vraiment, plus vraiment, et que ce sont quelques vagues images qui dansent dans son esprit, deux visages qu'elle ne parvient pas à attraper. Et c'est un combat à mort contre l'angoisse qui lui torpille l'esprit à cet instant. Et c'est pour eux, qu'elle se bat, pour qu'ils ne disparaissent pas dans cet abîme qui la ronge.
Alors elle se cabre, s'agite. Son pied contre une mâchoire, ses coudes dans l'abdomen, ses poings contre un menton. Elle se débat de toutes ses forces, de toutes ses maigres forces qui commencent à lui manquer. Ester n'entend pas Saul qui lui parle, qui la supplie, elle n'entend pas la voix de Saul, cette voix qu'elle aime tant, pourtant. Chacune des mains qui se pose sur elle lui fait l'effet d'une brûlure, elle n'a aucune conscience de Saul qui la plaque contre lui et qui l'empêche de se faire du mal, et de lui faire du mal. Il le sait, elle a, à cet instant, la force et la détermination suffisante pour tuer. Et quand il se retrouve sur elle, pour la bloquer, plus que la supplique qu'il lui adresse, pressant, c'est son odeur qu'elle capte. Alors, elle le voit, enfin. Elle voit ce visage déformé par la détresse. Mais elle n'est pas encore tout à fait revenue à elle-même, elle n'est dans un état de flottement dans lequel elle a une conscience exacerbée de tout : de son cœur qui cogne douloureusement dans sa poitrine et dans ses tempes, affolé, et de sa respiration erratique et saccadée, de ses muscles éprouvés et trop tendus, et de Saul, tout entier. Sa propre respiration, ces yeux qu'il pose sur elle, et son corps si près du sien, et son odeur, dont elle s'enivre de grandes bouffées d'air. Cette odeur, qui enfin, lui permet de reprendre pied dans la réalité, si familière et si rassurante. Un bref instant, elle est catapultée dans un univers qui n'a rien à voir avec le chaos ambiant, et de vagues souvenirs se projettent devant elle, trop fugaces pour qu'elle ne puisse les attraper, mais infiniment rassurant. Elle la la certitude que ce parfum appartient à quelqu'un, qu'il est important, essentiel, et ça la rassure infiniment.
Alors, enfin, elle revient à elle. Elle fixe ses yeux dans ceux de Saul, et gigote à nouveau pour se libérer de son emprise. Il s'écarte lentement, la fixant de cet air inquiet qui lui sert le cœur. Elle s'éloigne, se terre contre le mur, et reprend enfin son souffle. Ester ne peut empêcher les tremblements de son corps, ni les violents sanglots qui la secouent enfin. Elle doit lutter pour avaler deux bouffées d'air tandis qu'elle pleure pour évacuer la peur et la tension qui se sont logées en elle. Elle est épuisée de cette lutte qui n'en finit jamais. Et bientôt, c'est la culpabilité qui s'installe en elle, alors qu'elle voit Saul, épuisé plus que de raison après cette lutte, le visage ensanglanté. Ca la bouffe toute entière d'être la source de ses inquiétudes, mais elle ne trouve jamais les mots, les bons mots à lui souffler, pour lui demander pardon. Ester les répète pourtant inlassablement dans son esprit, en boucle, mais chaque fois qu'elle a l'occasion de prononcer deux mots essentiels, pardon, et merci, elle se défile. La serbe se doute bien qu'ils ne sont en rien importants, qu'ils sont entendus, même dans ce silence figé. Mais ça lui semble important. C'est important, crucial, même.
Lorsque Saul fait ce mouvement pour partir, elle le rattrape, mue par l'instinct qui la commande plus que par sa raison émiettée. Elle le plaque contre la porte qui se ferme et se fige à quelques centimètres à peine de lui. Elle sent sont souffle dans son cou, sur sa bouche, elle n'est que trop consciente de sa présence, partout autour d'elle. Mais elle est à nouveau figée, incapable d'attraper ses lèvres dont elle a pourtant tant envie, et se se lover contre ce corps qui lui semble si rassurant. Et l'instant qu'ils passent ainsi figés lui semble durer des heures, quand seulement quelques minutes s'écoulent. Il finit par quitter sa chambre, et elle le laisse partir, elle ne le retient plus, cette fois.
Elle s'assoit à nouveau sur le lit, enroule ses bras autour de ses jambes, et laisse les larmes à nouveau couler le long de ses joues pâles. Sa vie lui échappait sans qu'elle ne puisse rien y faire, elle vivait comme spectatrice impuissante les jours qui s'écoulaient, et sûrement que sans eux, sans eux deux, elle serait véritablement devenue folle. Quand Saul lui a proposé de venir, elle aussi, chez lui, après… Elle a refusé, et s'est réfugiée chez elle, avec ses peurs, ses angoisses, ses craintes. Elle a tenu un mois, avant de débarquer au beau milieu de la nuit chez Saul, un sac de voyage rempli des quelques affaires auxquelles elle tient, pantelante. C'est un de ses gars qui lui a ouvert et qui est allé chercher Saul, riant au sujet de l'hystérique qui se tenait sur le pas de la porte. Quand Saul l'a vu, il l'a attrapé pour la faire rentrer et d'un ton sec, il a fait dégager toute sa bande. De cette soirée là, Ester ne garde qu'un vague souvenir. Elle se souvient de Sam lui donnant un bain et de Saul l'installant dans le petit lit où elle se trouve actuellement. Elle se souvient des mots calmes et apaisants de chacun d'eux, des gestes doux de la jeune femme, et de la confiance absolue que dégageait l'autre. Elle vivait dans cette maison depuis, là où l'essentiel se trouvait. Le monde aurait pu s'écrouler autour d'eux, elle avait cette conviction intime qu'à trois, ils survivraient à tout. Puis, Ester prend conscience du chaos qui règne dans la petite pièce. Dans la lutte acharnée qu'ils ont mené, les quelques objets qu'elle a disposé sont tombés au sol. Elle ramasse le cadre brisé de l’icône de la Vierge et le pose à nouveau sur la commode qui lui sert en même temps de table de chevet. Elle attrape l'oreiller qui a glissé, ainsi que sa couverture, avant de sortir.
Les éclats de voix de la cuisine l'attirent, et elle reste figée sur la pas de la porte, quand elle découvre Saul ainsi prostré. « Je crève n'importe qui qui leur fait du mal. J'serais mort, sans elles. Et j'vais mourir pour elles. J'vais tuer, j'vais mourir pour elles. » Une boule d'émotion se forme alors dans sa gorge, et à pas lents et silencieux, elle s'approche de la dépouille de Saul, s'accroupit à ses côtés, hésite un instant, et puis enfin, enroule ses bras le long de ses épaules, enfouit sa tête dans son cou. « Pardon », murmure-t-elle. « Et merci. ». Avec des gestes d'une extrême douceur, et tellement contrasté avec la violence dont elle faisait preuve quelques instants auparavant, elle force le jeune homme à se tourner pour lui faire face. Elle plonge ses yeux dans les siens, elle se fiche bien que Lowell ou les autres soient là et les regardent avec cet air réprobateur qui ne les quitte que rarement. Sa main trace le contour de la mâchoire pour remonter à l’arcade qu'elle a esquinté plus tôt. Ses doigts frôlent la peau avec prudence, et elle guette le moindre signe qui lui suggérerait de s'arrêter là, maintenant. « Je t'interdis de mourir » murmure-t-elle alors précipitamment, le ton chargé d'angoisse, et impérieuse dans le même temps. Elle exige. « T'as pas l'droit. Sans toi, on fait quoi, hein ? On fait quoi... » Son poings s'abat sans violence et sans force sur le torse de Saul tandis que l'autre main s'agrippe à lui. « Jure-moi, Saul. Jure-le moi. ». Leurs lèvres se frôlent, mais ne se trouvent pas, pas encore. C'est bien trop tôt, encore, bien trop prématuré. Mais ses gestes, eux, sont sans équivoque.
Elle s'arrache à l'étreinte quand Louis pénètre à son tour dans la cuisine. « Sam est allongée, elle fume. Ca va. » L'homme lui décroche un regard qu'elle ne parvient pas à déchiffrer, quand elle passe à ses côtés pour gagner l'étage. Elle entre dans la chambre, uniquement éclairée par la lumière tamisée de la lampe de chevet. Sam est là, assise dans le lit, un mégot qui se consume entre ses doigts, et qu'elle porte parfois distraitement à la bouche. Et elle la fixe, Samira observe Ester, et le sourire qu'elle lui offre à cet instant suffit à réconforter la serbe, qui la rejoint dans le lit. Samira a ouvert ses bras pour l'accueillir et Ester se réfugie dans cette étreinte rassurante. Il sera toujours temps de penser ensuite. Plus tard. Pour l'instant, les bras qui se referment autour d'elle forment tout ce dont elle a besoin, et elle se laisse bercer par la jeune femme.
Quand elle rouvre les yeux, la chambre est plongée dans la pénombre, quelqu'un a dû éteindre la lumière. Elle sent la présence de Sam dans son dos, et distingue Saul, assoupi dans le fauteuil défoncé qui traîne plus loin. Le jour filtre à peine à travers les volets fermés. Sans bruit, elle repousse les couvertures et glisse dehors de la chambre. Dans la cuisine, elle croise Lowell et Louis qui la regardent passer sans rien dire, cette lueur sombre dans les yeux. Ils ne l'empêchent pas non plus de sortir de la maison. Le quartier est plongé dans le silence, encore, alors que le soleil se lève à peine, seuls quelques oiseaux gazouillent ici et là. Alors elle s'élance. Par les prières de nos saints pères, Seigneur Jésus-Christ notre Dieu, aie pitié de nous. Son pas et son souffle s'accordent à la litanie qu'elle récite machinalement. Roi céleste, Consolateur, Esprit de vérité, toi qui es partout présent et qui emplis tout, Trésor des biens et Donateur de vie, viens et demeure en nous. Purifie-nous de toute souillure et sauve nos âmes, toi qui es bonté. Son esprit s'anesthésie. Elle se concentre uniquement sur ses muscles douloureux qui se libèrent peu à peu de la tension accumulée au cours de la nuit, de sa respiration régulière et salvatrice.
fiche (c) elephant song.
Harlan Kovacs kill of the night
○ messages : 235
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Mer 16 Sep - 16:48
lyndsy et une militaiiiire nous faudra un lien bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Tara Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 136
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Mer 16 Sep - 20:15
Rolalala, une serbe, j'adhère grave. Bienvenue officiellement bon courage pour ta fiche, j'aime beaucoup c'que je vois pour l'instant, et j'ai hâte d'en découvrir encore plus. Surtout avec ce trio de folie qui s'annonce, quoi. Si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésite surtout pas
Reese Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 634
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Mer 16 Sep - 21:29
okay rien qu'pour ton titre, j't'épouse. et puis ce pseudo, cette nationalité, ce choix de vava, tout, tout, TOUT. t'es parfaite.
bienvenue officiellement sur le forum, la miss. bon courage pour la suite de ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves. et si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout n'hésite pas.
Anya Mercer kill of the night
○ messages : 139
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Mer 16 Sep - 21:35
lyndsy, et ce personnage bienvenuuue bonne chance pour ta fiche
Ester Jankovic kill of the night
○ messages : 50
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Jeu 17 Sep - 11:49
Merci à vous ! J'espère que ce qu'on vous proposera vous plaira autant qu'à nous !
Andrew Barnett admin ○ nightcall
○ messages : 207
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Jeu 17 Sep - 13:02
Une survivante et une militaire Bienvenue sur le forum, bonne chance pour ta fiche si tu as des questions, n’hésite pas
Ester Jankovic kill of the night
○ messages : 50
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Ven 18 Sep - 17:51
Merci ! J'ai bientôt fini ma fiche. J'ai hâte de me lancer dans le RP.
Reese Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 634
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Sam 19 Sep - 3:47
roh, j'ai l'impression que je vais répéter la même chose que ce que j'ai dit à saul, mais vous l'avez cherché, c'pas ma faute si vous êtes parfaits. je suis absolument fan d'ester, de ta plume, de votre trio, bref, trop d'amour sur vous. c'était super agréable de te lire, et je trouve ton personnage tellement intéressant. j'ai vraiment hâte de voir ce que ça va donner en rp par la suite.
par contre avant de te valider y a un tout petit détail qu'il faudrait rectifier. on en a fait une note vite fait dans l'annexe sur le monde en 2007, mais les femmes n'étaient pas encore autorisées, à cette époque, à être en contact direct avec les armes sur le terrain. il faut attendre 2013 pour que ce soit légalisé. alors en soi, y avait quand même officieusement des femmes qui se battaient, à la guerre comme à la guerre, comme dit le proverbe ; le truc, c'est que pour être sniper c'est un entraînement particulier, et je pense que pour le coup, c'était pas possible pour les femmes d'y avoir accès. de fait, ester aurait pu faire partie de l'us army, elle aurait pu faire des missions sur le terrain si elle faisait par exemple partie des équipes médicales, ou de transmissions aussi, ou bien même conduire des véhicules ou faire la logistique, et elle aurait même pu faire partie de ces femmes officieuses qui ont été en contact direct avec les armes (comme il y en a eu beaucoup) si elle occupait une place dans une unité qui le lui permettait, mais je ne pense pas qu'elle aurait pu être sniper, je suis désolée. ce pouvait être une excellente tireuse mais elle aurait pas été reconnue à sa juste valeur à l'époque, pas aux yeux de la loi et des hauts commandements, et elle n'aurait pas pu monter les échelons grâce à ses faits d'armes. de fait, je vais devoir te demander ce petit détail dans ta fiche, et ensuite ce sera tout bon, je me ferai une grande joie de te valider. désolée du dérangement en tout cas. et merci d'avance.
Ester Jankovic kill of the night
○ messages : 50
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Sam 19 Sep - 7:39
NOOOOOOOES. C'est un échec total. J'ai modifié ça. Partons, effectivement du principe qu'elle a fait partie de ces femmes officieuses en contact avec les armes. Par contre, concernant son grade, ce n'est pas du tout grâce à des faits d'arme qu'elle l'a eu, comme je le dis, mais vraiment parce qu'il fallait une bonne raison de la remercier de son implication sans pour autant lui permettre de réintégrer l'armée de façon officielle. (et, maintenant que j'y pense, c'est une jolie façon de la faire taire concernant les écarts sur le terrain, justement, ces femmes qui sont quand même montées au front et ont fini une arme à la main; et ça justifie d'autant plus ses traumatismes à son retour.)
Citation :
Elle est partie sur le front, initialement comme faisant partie des équipes médicales, mais elle s'est rapidement retrouvée une arme à la main. Son grade, par contre, lui a été donné à titre honorifique, elle n'a jamais eu a en gérer le poids (un moyen de la faire taire au sujet de son implication réelle sur le front)
J'espère que c'est bon comme ça
Reese Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 634
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Sam 19 Sep - 15:14
ça va, y a pire comme échec, c'est pas non plus toute une fiche à refaire même si je conçois que ce soit embêtant, et que ces américains soient gonflants avec leurs lois sexistes.
DU COUP, tout est bon pour moi, avec tes petites modifications. et je me fais donc un plaisir de te valider, miss. hâte de voir ton personnage en jeu. amuse-toi bien.
CONGRATULATIONS bienvenue dans les rangs ! Bonjour, Ester, et bienvenue dans ma ville. J'ai entendu dire que tu avais fini par te réfugier auprès de ceux qui t'ont sauvée, que tu as sauvée. J'ai entendu dire que la vie t'était devenue difficile et qu'après moi, c'était la peur qui t'avait rattrapée, malgré la protection que t'offrent ces deux paires de bras. Fais attention à toi. Nos erreurs finissent toujours par nous rattraper.
Félicitations, mon brave. Tu t'en doutes sûrement, mais si tu vois ça, ça veut dire que tu es enfin officiellement des nôtres, avec une jolie couleur et tout le package. Nous t'invitons par le biais de ce petit formulaire à passer par la suite dans quelques sections importantes pour ton intégration au forum et au jeu. Nous, on s'occupe de recenser ton avatar et ton pseudo, mais si tu veux recenser ton métier, ton logement, ton numéro de téléphone ou ton adresse mail, c'est à toi de le faire ! On t'invite également à aller faire un tour du côté des fiches de liens, pour te trouver plein de copains, ainsi que des rps. N'hésite pas non plus à remplir notre partie scénario de tes idées ! Et n'oublie pas d'aller voter pour nous toutes les deux heures, histoire de ramener encore plus de potentielles victimes pour notre tueur d'amour ! Faut bien le nourrir, le petit.
Et surtout, si tu as la moindre question, n'hésite pas à t'adresser à Fred(ou Maddox), Alma(ou Quinn), Judith(ou Elijah), ou bien Alison(ou Aslinn) !
Ester Jankovic kill of the night
○ messages : 50
Sujet: Re: ascenseur pour l'échafaud (ester) Sam 19 Sep - 16:21