Sujet: they hide it up the sleeves. (tezio) Jeu 17 Sep - 2:59
― ezio & tara ―
now roll kid, knock your body off, you're something like a phenomena.
C’est pas la soirée. Son boss lui a pris la tête une énième fois parce qu’elle a eu le malheur d’être un peu trop brute avec un sale gosse – pas sa faute si le chieur l’a poussée à devoir lui choper la main et que deux de ses doigts ont pas supporté l’impact, c’était une p’tite nature, elle y peut rien. Paraît qu’il a fallu négocier pour qu’il porte pas plainte mais franchement, quelle bonne blague : elle faisait son boulot alors qu’on vienne pas la faire chier avec ces histoires. Manquerait plus que ça d’ailleurs, qu’un connard la force à se ramener au poste et à devoir faire face aux forces de l’ordre, pour sûr qu’ils la trouveraient dans les fichiers et ce serait le début de la fin. S’ils captaient qu’elle a rien à faire dehors, elle pourrait dire adieu à sa liberté ; même s’ils la chopaient pas, faudrait qu’elle soit en cavale et ça lui fait pas franchement envie. Alors certes, p’t’être qu’elle devrait être un minimum reconnaissante qu’on lui ait évité ce bordel. Mais en fait, non, elle l’est pas. Parce qu’il l’emmerde.
Puis comme si ça suffisait pas, y a un espèce d’abruti qui a eu son permis dans une pochette surprise, et qui a jugé bon de se garer tout près de sa bécane. Trop près. L’égratignure est minime, invisible si on fait pas gaffe – mais Tara, elle voit que ça. Ça l’a foutue en rogne de pas avoir le propriétaire sous la main pour lui faire manger le bitume, alors elle a fait avec les moyens du bord et elle s’est contentée de lui péter toutes ses vitres, à défaut de pouvoir lui refaire la dentition. C’est pas la même satisfaction, mais elle avait rien de mieux sous la main.
Franchement, elle a mérité un putain d’verre. Ou deux. Ou dix, elle est plus vraiment à ça près, m’voyez. Elle a les coudes ancrés au comptoir un peu crade, mais c’est confortable et puis c’est ça ou rien alors elle fait avec. Elle a connu pire, de toute façon. Un bon whisky – y a qu’ça de vrai – et p’t’être que ça l’aidera à décontracter un peu ses muscles trop noués, ses mâchoires tellement serrées qu’elle va finir par s’enfoncer les crocs dans les lèvres. Elle se tourne un peu vers la salle, observe les débiles qui picolent, scanne ses alentours avec attention. L’alcool a beau contribuer à la relaxer en temps normal, va lui falloir plus que ça pour apaiser ses nerfs à vif. Une pauvre carcasse à marteler de coups, ou un corps qui pourra venir froisser ses draps. Elle s’en fout, l’un ou l’autre fera l’affaire, mais elle a besoin d’un truc. Faut qu’ça sorte.
Verre à la main, elle se redresse un peu, prête à partir en vadrouille pour trouver ce dont elle a besoin ; quitte à foutre le bordel s’il le faut. Elle a fait un pas. Un seul. Et y a un putain d’abruti qui juge bon de se prendre pour un foutu rhinocéros, ou elle sait pas quelle autre bestiole qui agit comme un quaterback attardé. Il lui file un coup d’épaule brutal, elle a le bras qui vole, le verre qui se renverse sur son buste et le whisky qui se répand un peu partout sur son t-shirt et dans son décolleté. Un bon whisky qu’elle a payé, merde. « Connard. » Et elle attend qu’il se retourne, la sauvage. Elle veut lui exprimer le fond de sa pensée en long, en large et en travers. Mais lui, il a pas l’air d’en avoir envie. Lui, il l’écoute même pas, ne fait pas le moindre mouvement dans sa direction, pas un regard, que dalle. Il avance comme un foutu bulldozer, bouscule une ou deux autres personnes au passage, et fonce droit sur son objectif. Un autre gars, à qui il semble être en train de faire des reproches animés. Elle s’en fout. Il va payer son affront, cet enfoiré.
Alors elle fend le tas de gens à son tour, se faufilant avec beaucoup plus d’aisance que lui au vu de son petit gabarit, et elle met pas longtemps à venir se planter dans son dos. Sa main vient tapoter son épaule, tranquillement, presque poliment – un comble. Elle attend, il se retourne pas. Et il commence sérieusement à lui casser les couilles, accessoirement. « Yo fils de pute, tu te r’tournes ou c’est moi qui t’en r’tourne une. » Faut croire qu’insulter la maman, ça marche à tous les coups, parce qu’il daigne enfin poser les yeux sur elle. Et il a pas l’air content ; ça tombe bien, comme ça ils sont deux, plus on est d’fous plus on rit et toutes ces conneries. « Ta gueule connasse, tu vois pas que j’suis en train d’parler ? » Sa tête se penche légèrement sur le côté, un sourire mauvais se peignant sur le coin de ses lèvres. Ceux qui la connaissent savent que ça présage rien de bon. « J’vois surtout que tu m’dois un verre de whisky. » Il soupire, bat de la main dans sa direction comme pour dire : casse-toi, j’m’en fous. Et puis il retourne à son interlocuteur comme si de rien n’était – interlocuteur qu’elle reconnaît vaguement, mais elle dit rien. Elle a pas fini sa conversation avec l’autre. Sa main se lève, le récipient toujours fermement coincé entre ses phalanges qui pâlissent sous la force de sa poigne. Et elle vient l’abattre contre la tête de ce crétin, le verre volant en éclats, entaillant sa paume et ses doigts au passage. Mais ça fait rien, au moins elle est sûre que le message a dû rentrer. Il lui doit un putain de verre, bordel.
Ezio Zeljkovic admin ○ nightcall
○ messages : 45
Sujet: Re: they hide it up the sleeves. (tezio) Ven 18 Sep - 6:51
– bite hard –
Les gens ont toujours eu une drôle de manière de faire le tri dans les priorités. Ils travaillent sûrement tous, demain. On est en semaine. La ville bat autant son plein que la vie, et le réveil sonnera à une heure fort désagréable après la soirée passée. Pourtant, ils sont tous là à se soûler. Ils en ricanent, les ivrognes, s’assènent des bourrades à tout va. Le rire gras et l’œil brillant d’ivresse. Ils tentent de noyer leurs soucis, leurs boulots de merde et leurs familles chiantes. Le verre d’alcool est un peu petit pour faire rentrer tout ça dedans, surtout qu’le cul de leur femme grossit de jour en jour. Alors ils en reprennent un. Puis deux. Un troisième, tant qu’on y est. T’façon, bourré pour bourré, hein. Ils rentreront à pied, ils l’ont déjà décidé. Alors un quatrième peut pas faire de mal. Ils sont pleins comme des outres, et ils gênent le monde autour d’eux. Bruyants. Envahissants. Parlent trop fort, sentent trop fort. Méritent juste un coup d’bouteille dans la gueule, et l’tesson dans l’crâne, fiché comme un boucher planterait son couperet dans une pièce de viande. Ils seraient probablement morts avant qu’leurs genoux touchent le sol. Leur corps émettrait un gargouillis, quelques bulles de sang écumeraient au bord de leurs lèvres. Et enfin, le bar connaîtrait à nouveau la paix qu’une soirée de détente aurait dû réserver.
Mais il ne s’énerve pas, l’homme assis dans son coin. Les pensées carmines tournoient dans sa tête, ballet des ombres et des pulsions habilement dissimulées. Il promène son regard du démon autour de lui, ne s’arrêtant sur personne en particulier. Régulièrement, ses doigts plongent attraper des cacahuètes dans le petit bol que la serveuse lui a amenée. Mignonne, mais pas à son goût. Elle est rousse, et bien qu’il n’ait rien contre les rousses de manière générale, elles ne les attirent pas sexuellement. Et puis, elle a le cul un peu trop plat, le menton un peu trop proéminent. Sans tout ça, elle serait jolie. Sans tout ça, elle vaudrait peut-être la peine qu’il pense à elle.
Déguster un scotch aussi vieux d’âge, c’est tout un art. Il ne vient ici que pour ça. Il n’y a que là qu’ils ont cette cuvée, cette année. Ce raffinement si particulier, ce vieillissement impeccable. C’est sa boisson. Et même si ça lui coûte une blinde à chaque fois, même si le monde autour de lui est franchement presque aussi mal luné que mal élevé, ça vaut la peine de se déplacer. Il ne craint pas les débordements qui peuvent l’entourer, à mesure qu’avance la soirée. Et son verre se vide avec une lenteur démesurée, qui l’a déjà fait catégoriser dans la catégorie des clients chiants et un peu dérangés. Pour autant, on ne lui dit rien. Parce que lui, au moins, il est calme. Et lui, au moins, il est poli.
C’est le juron, entendu de la bouche de cette femme, qui attire son attention. Juste à temps pour qu’il voit un type filer droit vers lui, l’air visiblement dans un état de profonde contrariété. « Ça y est, espèce de fils de pute, j’t’ai retrouvé. » Il ne bouge pas, ne cille pas. Pas un haussement de sourcils, pas une moue. Sa main n’a pas lâché son verre de scotch. Et il ne se retient qu’à très grand-peine de retourner piocher une cacahuète, de peur que ce ne soit déplacé. « Tu vas morfler, sale enfoiré. J’lui ai foutu une branlée, à cette traînée, mais à côté de toi, j’te jure que ce sera rien. Je– » La voix féminine est de retour. Plus proche, cette fois-ci. Le légiste se penche légèrement sur la gauche, cherchant à distinguer le visage de la petite charretière. « Ta gueule connasse, tu vois pas que j’suis en train de parler ? » Ça y est, ça lui revient. Il la reconnaît. Il l’a déjà croisée, la petite furie. Il ne sait plus bien où, ne sait plus bien pourquoi. Mais il n’oublie jamais un visage. Et il se souvient de celui-ci.
Aux mots qu’elle prononce, il hoche légèrement la tête. She’s damn right. Le type semble n’en avoir rien à foutre. Et au moment où il se tourne à nouveau vers son interlocuteur premier, la bouche ouverte, prêt à dégobiller tout un tas d’autres insanités, on le coupe. « Elle a raison, vous savez. Vous lui devez un verre. » L’autre va pour surenchérir, mais il n’en a pas le temps. À peine le légiste eut-il terminé sa seconde phrase que ledit verre — vide — vint s’écraser à l’arrière du crâne du nuisible. Le serbe eut un mouvement de recul, bref, quelques éclats de verre volant vers lui. Il épousseta rapidement sa veste, avant de constater avec déception que les cacahuètes avaient été infestées. C’était pas malin, ça. Il relève le nez vers le gars, qui titube un peu, soudainement plus certain de la notion d’équilibre. « C’était mérité. Vous ne pourrez pas dire qu’elle ne vous avait pas prévenu. » Une voix un peu trop détachée, un ton froid. Le type finit par se remettre un peu plus droit, campé sur ses deux pieds. Il ne sait plus quel adversaire affronter en premier. L’autre reste assis, les jambes légèrement croisées, un coude appuyé sur la table. Plutôt détendu. « Je pense que vous pouvez finir de régler vos ennuis avec la demoiselle. Je vous attends ici. De toute manière, pour une minute ou deux, ça ne va pas changer grand-chose. Je me suis déjà tapé votre femme, vous l’avez déjà appris, déjà cognée, et vous êtes sur place pour m’engueuler. J’vais pas m’envoler, c’est promis. »En réalité, je meurs d’envie d’une distraction comme celle-ci.
Il ne sourit pas, mais le cœur y est presque. L’autre commence à reprendre ses esprits, et, bien qu’hésitant, se tourne vers la petite, prêt à en découdre. Bien décidé à regarder le spectacle tout en finissant son verre, le légiste repousse le bol de cacahuètes contaminé par les corps étrangers et se lève, le regard vrillé sur une table à côté. Immédiatement, l’autre le remarque, et se désintéresse de la brunette. Poor little girl.« Hé où tu vas ?! J’t’ai dit de rester là ! »« J’reprends des cacahuètes, elle a mis du verre dans les miennes. » Il attrape le bol de la table d’à côté, se rassied. « Et j’vous ferais remarquer que c’est moi qui ai décidé de rester. Son verre de whisky, ça vient ? » Un coup de tête vers la petite brune. Avant qu’elle ne perde encore patience, et ne déclenche une troisième guerre mondiale.
(c) elephant song.
Tara Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 136
Sujet: Re: they hide it up the sleeves. (tezio) Mer 23 Sep - 22:26
Ça lui revient. Elle est pas sûre de connaître son nom, ni même quoi que ce soit à son sujet, mais elle sait où elle l’a croisé. Ses prunelles scannent ses traits rapidement, et elle se souvient : il traîne dans des coins pas nets, avec des types qu’elle sait être trafiquants d’organes. Sûrement qu’il a un rôle dans le business, elle en a l’intime conviction, mais quelque part, elle s’en contrefout. C’est pas ses oignons. C’est simplement un type, pas mieux qu’les autres, pas forcément pire non plus. Juste un type, qui a un monstre planqué dans le creux de ses tripes, le fond de ses iris. Elle l’a vu. Elle en mettrait même sa main à couper ; entre bêtes, on s’reconnaît.
Sauf que la bête, elle a une patience déjà limitée en temps normal, mais ce soir ça frise le zéro contrôle. Alors elle assomme le connard, et puis elle le regarde tanguer, tituber, se frotter un crâne meurtri par l’impact. Un regard rapide vers sa main, et elle retire les éclats de verre plantés là, soupirant presque face aux plaies qu’elle s’est infligé sans le faire exprès. Ça fait pas si mal que ça, mais ces trucs-là, c’est jamais bien pratique pour se battre quand ça commence à cicatriser et tout l’bordel. Tant pis. Elle lève le nez vers les deux hommes, le loser l’air un peu paumé, l’autre plus détendu que jamais – ça en serait presque dérangeant. Et puis elle observe. C’est tout à fait charmant, d’les voir se démêler, mais Tara, elle veut juste casser la gueule du rhinocéros. Le reste, elle s’en fiche. Qui s’est tapé qui, quel égo masculin a pris un grand coup et qui pisse le plus loin, ça l’intéresse pas – mais s’il fallait répondre, elle parierait sur celui qui est assis. Et qui tarde pas à se lever, pour une sombre histoire de cacahuètes. Ça la fait ricaner, et elle regarde l’autre s’exciter tout seul ; c’est terriblement pathétique. « T’as entendu ton copain, il t’attend. Alors remplace-moi mon verre et on pourra p’t’être négocier. » C’est pas vrai, elle a trop envie d’le cogner. Mais autant qu’il lui donne une raison, ça sera plus drôle. Il tourne la tête vers elle, visiblement agacé, sûrement aussi énervé, et impatient d’aller se défouler sur l’autre homme. « J’t’en foutrais des verres moi, tu vas voir p’tite conne. » Ah. C’est pas trop tôt.
Elle le voit, le poing qui se prépare avant de se lever. Trop prévisible. Elle l’esquive sans le moindre problème, puis vient ficher le sien dans le nez de son assaillant, qui recule sous la force de l’impact. Le sang a commencé à couler, et à peindre l’épiderme du sale type en même temps que les phalanges de TJ. Légèrement voutée, comme une bestiole farouche, elle lui fait signe de revenir à la charge. Et quand il le fait, elle l’accueille d’un coup de pied entre les jambes – facile et vicieux, mais efficace à tous les coups. Il se plie, grogne un « Salope » qui la fait plisser le nez, et elle vient choper sa boîte crânienne pour la tenir en place pendant qu’elle projette son genou dans son visage. Elle saurait pas trop dire ce qui craque ; le nez, les dents, la mâchoire, les pommettes, ou autre chose. Mais ça craque. Un peu sonné, il se rattrape comme il peut au comptoir, pas bien loin de l’homme mystère. La tronche entre les mains, probablement en train d’assimiler ce qui lui arrive et les vagues de douleur qui vont avec. Il est un p’tit peu mal en point, mais pas assez pour être hors service non plus, elle fait que commencer. Et comme c’est toujours plus satisfaisant d’affronter un adversaire à sa taille, elle choisit de le laisser là où il est, le temps qu’il récupère et se décide à lui revenir dessus. Sinon, elle en fera qu’une bouchée, et elle sera pas rassasiée. Fitz lui dit toujours de pas jouer avec la nourriture mais ce soir, elle a bien l’droit.
Le barman a l’air un peu blasé, certainement habitué aux petits conflits du genre. Tant que ça dégénère pas trop, on les foutra pas dehors ; sûrement qu’ils finiront quand même par franchir les limites, parce que Tara les franchit toujours. Mais en attendant il s’en fout un peu, comme tout le monde dans l’bar d’ailleurs, et elle lève son index pour appuyer sa commande. « Un whisky. L’meilleur que t’aies en stock. » C’est pas elle qui paiera. C’est son pote. Il le sait pas encore, mais il le fera – de gré ou de force – elle avance juste les choses pour que ça aille plus vite. Et pendant qu’il essuie l’hémoglobine qui salit ses traits, et qu’il tousse elle sait pas trop pourquoi – p’t’être bien qu’elle lui a pété une dent, du moins elle espère – elle se tourne vers leur ami commun, qui a plutôt l’air d’apprécier le spectacle. Voyeur. « J’espère qu’t’es pas pressé. » Parce qu’elle l’est pas. Et qu’il va attendre son tour encore un moment, s’il choisit de faire la queue. Sûrement qu’y aura plus vraiment de tour à prendre quand elle aura terminé d’ailleurs, il a dû le comprendre tout seul en la voyant faire. Elle se rapproche un peu, ses yeux dans les siens le temps d’une seconde, le temps d’y voir la même lueur qu’elle se souvient avoir croisé. Et puis elle plonge une main tachée de rouge dans ses cacahuètes sans lui demander son avis, piquant une poignée qu’elle enfourne et avale rapidement. Y a l’autre qui grogne à côté, se relevant doucement de son poste, laissant des traces de son passage sur le comptoir déjà bien entamé. Et il les regarde, l’air franchement remonté. Ses deux ennemis de la soirée sont maintenant côte à côte, tout près de la bouffe, et il a encore l’air en train de tergiverser pour savoir sur lequel il devrait foncer. Tara en profite pour faire une nouvelle razzia chez les arachides, l’observant avec la bouche pleine. Elle est pas patiente. Et s’il est pas foutu de se décider, elle le fera pour lui. Ses griffes attrapent quelques cacahuètes rescapées, et elle les lui jette à la gueule une par une, avec tout le sérieux du monde. Elle veut qu’il revienne lui foncer dessus. Même si pour le coup, cette fois il risque d’embarquer l’autre type dans leur rixe – trop proche pour pas être touché. Ça la dérange pas des masses, tant qu’elle a une carcasse à cogner. Il peut bien inviter tout le bar à les suivre que ça lui fera ni chaud ni froid.