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 we all gotta die of something. (maddox)

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Maddox Osman
Maddox Osman
admin ○ nightcall


○ messages : 351

MessageSujet: we all gotta die of something. (maddox)   we all gotta die of something. (maddox) EmptyVen 11 Sep - 2:30


MADDOX JULIAN OSMAN
we're gods unwanted children


come drink the water

• âge › trente-sept piges. autrement dit, vu sa qualité de vie, il a sûrement fait plus d'la moitié. quoique vous savez c'qu'on dit, ce sont les pires qui partent en dernier. • date et lieu de naissance › un premier novembre, à bâton-rouge. quelques minutes après le premier. ou avant le deuxième. on ne sait plus vraiment. pour eux ça n’a pas vraiment d’importance, qui est arrivé avant l’autre. • nationalité › américain. dans toutes les versions, il s’accorde à être fidèle à cette nationalité. c’est pour le reste que ça change ; les origines, et toutes ces conneries. dans la version du sang, il a de lointaines origines hongroises. mais dans ses dires, pour se protéger et ne paraître aucunement lié au moindre nom hongrois traînant ici ou là, il se prétend canadien. parfois anglais. mais dans le fond, toujours américain. • profession › au départ, il était sniper dans l’armée de terre américaine. c’était un bon job, pour lequel il était particulièrement doué. si doué qu’on lui a proposé un ou deux petits extras. il s’en est d’abord méfié, avant d’accepter. bêtement, naïvement. il a dit oui, et il a foncé la tête la première dans le piège habilement dissimulé qui lui a coûté sa vie telle qu’il la connaissait. il est entré dans un monde dont il n’est jamais ressorti. un monde dont on ne ressort pas. mercenaire. suite à un contrat particulièrement musclé, on l’a fait disparaître temporairement de la circulation. il est rentré, est devenu flic. un bon flic, qui a bien servi son pays. loyal et serviable. et puis la vie l’a rattrapé, et il a fini en taule. jusqu’à ce qu’on le rappelle dans le milieu auquel il ne pouvait plus échapper. aujourd’hui, en échange de sa liberté, il est taupe et informateur, mercenaire à ses heures perdues, et pêcheur et docker pour avoir un revenu justifié. mais il ne s’est jamais autant plu dans un boulot qu’à l’époque où il était soldat, puis flic. • orientation sexuelle › des femmes et du rhum, matelot. • situation amoureuse › seul. ça ne l’intéresse pas particulièrement de fréquenter une femme et une seule. ça ne l’intéresse pas non plus de se taper toute la nouvelle-orléans. y en a une qui lui a pourri les pensées il y a bien longtemps, une à laquelle il s’est bien accroché sans même s’en rendre compte ou accepter cette idée. mais depuis, il s’est inconsciemment juré qu’on ne l’y reprendrait plus. encore faudrait-il qu’il soit passé à autre chose. encore faudrait-il qu’il admette avoir un jour été amoureux, et être capable d’apprécier quelqu’un au point de vouloir faire un morceau de chemin à ses côtés. • situation financière › étrangement, pas si précaire que ça. il a amassé pas mal de sous avec ses différents contrats, et n’en a que très peu dépensé ; beaucoup s’en doutent, mais officiellement, personne ne le sait. il en garde pas mal sous son matelas, et gare à qui tenterait de le lui voler. le reste dans un compte en banque, comme tout l'monde. mais il n'aime pas les comptes en banque. surtout depuis qu'il a découvert que l'argent dedans était pour le moins fictif. numérique. il n'est pas sûr d'avoir pleinement confiance en ce genre de système. • et vivre à la nouvelle-orléans, ces derniers temps, c'est comment ? › c’est là où il ne voulait pas être. là où il aurait préféré qu’on ne l’envoie pas. mais c’était ça ou le couloir de la mort ; et il a choisi nola. la ville n’est qu’un gigantesque caniveau. heureusement, certains font encore l’effort de regarder vers les étoiles. mais il n’en fait pas partie ; il marche le menton bas, en espérant qu’un tueur quelconque ne le cueillera pas au coin de la rue. en rêvant d’ouragan et de la puanteur de la mort, lorsque son corps veut bien l’autoriser à s’endormir. la vie n’est pas simple. mais ce serait pire encore de ne pas la vivre. • groupe › take me to church. • célébrité › michiel huisman, la sexitude en double sur ce forum. • crédit › tumblr (bannière), gangster squad (titre), fight club (citation).


some kind of madness

maddox est né sous le nom de kovacs. il a changé de nom il y a plus de dix ans maintenant, pour préserver la sécurité de sa famille, mais n’a pas touché à ses prénoms. • il possède un frère jumeau, harlan. ils ont perdu contact après que mad’ a changé de nom et coupé les ponts, et ne se sont retrouvés que depuis l’ouragan katrina. • il s’est engagé dans l’armée à dix-huit ans, par désintérêt total pour les études. il n’a jamais vraiment collé au schéma familial, mais ne s’en est jamais apitoyé. • sniper dans l’armée de terre, il a été remarqué par des hommes qui lui ont proposé des petits contrats. des petits extras. sans se douter de quoi que ce soit, il a accepté ; et c’est ainsi qu’il a commencé sa carrière de mercenaire, sans même en avoir conscience. il a mis le doigt dans l’engrenage par simple curiosité, et la machine lui a bouffé la main, le bras, puis l’épaule. • il n’a jamais pu arrêter les contrats, jusqu’à un qui a particulièrement mal tourné, dont il ne s’est sorti que de justesse, et qui l’a contraint à disparaître de la circulation. il a alors fait le choix de changer de nom, pour protéger ses proches, et de couper tout contact avec eux. • il ne s’est pourtant pas caché plus loin que memphis, où il est rentré dans la police et a fait de beaux états de service. • mais partout où il passe, il semble qu’il y ait un cafouillage qui soit promis. au cours d’une intervention, il abat un civil qui menaçait son coéquipier, et deux autres hommes qui mettaient délibérément leurs vies et leur mission en danger. grâce à cela, ils purent tout de même arrêter plusieurs hommes particulièrement dangereux. mais l'un des hommes tués s'avéra être un flic ; le mérite fut donné à son coéquipier, et maddox fut envoyé en prison. il n’en a jamais voulu au gamin ; bien au contraire, la gloire ne l’a de toute manière jamais intéressé. • il tua trois autres types en prison, après quelques altercations relativement corsées. alors qu’il devait être jugé pour ces nouveaux crimes, on lui rendit visite pour lui dire que certains de ses états de service comme mercenaire avaient été découverts, et qu’il allait être selon toute vraisemblance condamné à la peine capitale. sauf s’il acceptait de servir la justice et la police. vivre pour se rendre utile, et mettre à profit ses atroces capacités, pour de bonnes choses comme pour de mauvaises. il accepta et fut libéré de prison pour être envoyé à la nouvelle-orléans comme taupe et informateur, entre autres. sans filet, bien entendu ; on se moque bien de le perdre en route ou pas, bien qu’il soit un précieux atout. • katrina eut lieu à peine deux mois plus tard, et on le somma de faire évacuer un homme en particulier. il ne le retrouva pas à temps et on lui ordonna de le sortir des décombres de la ville. il a donc été sur place pendant tout l’ouragan, et a navigué par la suite à la recherche de survivants. c’est dans cette même situation qu’il a retrouvé son frère, l’aidant à s’extirper d’un grenier dans lequel harlan s’était coincé, en essayant d’aller secourir ce qui s’est avéré être un cadavre. • il a depuis repris un peu contact avec des gens de son ancienne vie, et essaie de se remettre dans le droit chemin, du mieux qu’il peut. on le tient toujours à la gorge avec une peine de mort à la clé s’il fait le moindre pas de travers ou tente de se défiler, et il essaie donc de ne pas trop tenter de s’échapper des contrats qui l’entravent.

il travaille sur les docks et il pêche. il est capitaine d’un petit bateau, le borgne-fesse, mais part en général en mer pour la pêche sur de plus gros, sous les ordres de quelqu’un d’autre.  • il possède quatre chiens : rorscharch, archibald, le clochard, et sitka. ils sont tous très bien dressés, et il les aime comme ses propres frères — ou enfants, selon les versions. • c’est un homme extrêmement droit et loyal, malgré son histoire très noire ; quelqu’un de bien, qui a simplement fait des mauvais choix. • il ne se plaint jamais de ce qui lui est arrivé, ou de la vie qu’il mène. à dire vrai, il ne parle que très peu de lui, et se garde de bien d’en raconter sur ce qu’il a traversé. • il travaille comme il vit : sans regarder à l’effort donné, toujours au maximum de ses capacités, et sans rechigner. • il boit. un peu trop, même si cela n’altère que très peu ses capacités. il encaisse très bien l’alcool, et s’est trouvé un refuge dans la boisson. une échappatoire régulière à sa misère et à sa vie. • railleur et cynique, il ne tolère pas les remarques, et n’a pas nécessairement la langue dans sa poche, en particulier quand il a un peu commencé à boire. il peut vite devenir assez agressif dans sa manière de répondre, non sans un sourire mauvais, ainsi qu’une critique bien placée et bien sentie. • il se garde bien de faire des commentaires gratuits sur les autres, alors ne supporte tout simplement pas qu’on en fasse sur lui. • il a cette tendance à foutre des baffes pour remettre les pensées à l’endroit qui ne laisse que rarement inexpressif. • c’est quelqu’un de très protecteur, qui ne laisse jamais quelqu’un derrière lui, malgré sa priorité apparente à sa propre survie. • il se plaisait véritablement à exercer le métier de soldat et celui de flic, et ce n’était pas pour rien. la vie a juste décidé de l’éloigner de ce qu’il aimait. et de ceux qu’il aimait, aussi. • il a les oreilles et les yeux absolument partout, et sait presque tout ce qu’il y a à savoir sur les tréfonds de la ville, et même aux alentours. c’est le boulot qui veut ça, quelque part. • il refile de très nombreuses informations à la police et à de nombreux détectives, juges et avocats. c’est le bon côté de ce chantage qu’on lui a fait, pour sa sortie de prison. mais il exécute aussi le sale boulot qu’ils lui donnent ; il faut bien un mauvais côté. • il marche sans arrêt sur le fil du rasoir pour eux. et si une tête doit tomber, il est bien entendu aux premières lignes. une force de frappe efficace, qui essaie de rester discrète, par souci de survie. • il laisse ses plaques militaires accrochées au collier de rorschach. ce sont les seuls objets qu’il a encore et qui affichent son nom de naissance. • il possède une cassette audio qu'il a eue durant son adolescence, et qu'il écoute sans relâche depuis tout ce temps. du genre à ne jamais se lasser de la même chanson, ou à ne changer que rarement. il a d'ailleurs souvent un baladeur à cassettes et un petit casque sur lui. la musique l'a toujours aidé à se concentrer. • il assume toutes les horreurs qu’il a faite, et marche droit dans sa vie. mais il a les épaules affaissées par la culpabilité et la résignation, et a parfaitement conscience de mériter une mort lente et douloureuse, comme on laisserait crever un chien au fond du caniveau.


pursuit of happiness

• pseudo › elephant song. • âge › vingt ans. • pays › québec. (parce que oui, c'est un pays /out/) • comment as-tu découvert le forum ? › we all gotta die of something. (maddox) 328392175• un dernier mot à nous dire ? › RACCOON. we all gotta die of something. (maddox) 3657614348
J'atteste par ailleurs qu'en créant ce personnage, je l'expose au danger d'être mis à l'épreuve par le Tueur au Puzzle.
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Maddox Osman
Maddox Osman
admin ○ nightcall


○ messages : 351

MessageSujet: Re: we all gotta die of something. (maddox)   we all gotta die of something. (maddox) EmptyVen 11 Sep - 2:30



in life we can't be free


time keeps movin' on.



La cassette crachote son rythme, et il grogne.

Elle n’en démord pas, la belle basanée, et elle l’attrape par la main pour le forcer à se lever, le forcer à danser. Il a beau protester, il a beau essayer de lui échapper, elle le saisit à deux bras, les enroule autour de son cou, et ne le laisse plus s’éloigner. Il finit par tenter d’y mettre un peu de bonne volonté, mais se rend rapidement compte que c’est peine perdue. Si Harlan le voyait, il se moquerait probablement de lui. Et à juste titre ; il déteste danser. Alors il la pousse. Il lui fait bien comprendre qu’elle l’embête, une main sur chaque hanche, la guidant lentement mais sûrement vers le mur. Et la paroi lisse finit par entrer en contact avec le dos de la belle métisse. Et son visage à lui plonge vers son cou, ses dents attrapent sa peau ; douce vengeance.

Il ne l’aime pas, elle ne l’aime pas ; ils y croient, voudraient que ce soit si simple. Juste profiter de la vie comme elle vient, de leur jeunesse comme elle est. Après tout, cette soirée sera peut-être la dernière.


La cassette crachote son rythme, et il sourit.

Le petit baladeur dans la main, il arrive à en oublier le cahotement des pneus sur la route, la peur des hommes autour de lui. Son arme enveloppée est calée contre son épaule, crosse au plancher, et il se laisse envahir par la musique. Ça fait des mois qu’il n’est pas rentré au pays, des mois qu’il n’a pas vu autre chose que des putains d’uniformes, des villes en sang et des cibles à abattre. La plupart des gars sont en train de perdre pied, et voudraient rentrer. Lui, il ne sait pas. Il n’en est pas sûr. Ce qu’il fait ne lui déplaît pas. Il a l’impression de trouver un sens à sa vie, de rétablir une certaine justice.

Il a commencé à mettre l’ongle dans l’engrenage, mais pense avoir choisi la bonne machine. Il y a quelques jours, on l’a contacté. On lui a dit de prendre le temps de réfléchir, mais il est curieux. Il est curieux, et il va essayer. Rendre service, découvrir. Il ignore ce dans quoi il est sur le point de se jeter, mais il s’en fiche. Il se pense encore jeune, et à l’abri. À l’abri malgré le danger de mort qui le guette, à chaque fois qu’il fout un pied hors de sa tente.

Et il sourit, alors que le humvee roule dans un nid de poule, et fait sursauter un gars à côté de lui. Il lui jette un petit regard amusé, et il se dit que la vie pourrait de toute façon être pire. Elle peut toujours l’être.


La cassette crachote son rythme, et il ferme un œil.

Absorbé, concentré. Il vise, le doigt sur la gâchette. Son arme est chargée d’une unique balle, calée contre le battant de la fenêtre, et ne risque de pas de bouger. Il n’a qu’une seule chance, et ce sera la bonne. Les autres sont placés sur d’autres perchoirs, et ils attendent l’ordre. La situation est allée en s’empirant, et ils ont chacun une cible à abattre. Chacun une tête à faire tomber. Mais la plus délicate est pour lui, et c’est sa vie qui est en jeu.

On lui a déjà dit qu’après ce tir, il faudrait qu’il s’en aille. Les autres aussi. On désintègre leur petite équipe, on les renvoie chacun chez eux, ou aux quatre coins du monde. Tout est devenu trop compliqué pour qu’ils prennent le risque de rester. Il lui faudra sûrement raccrocher complètement, changer de nom, et s’éloigner de ses proches. Disparaître, s’envoler dans la nature et recommencer sa vie. Les laisser derrière ; son frère, ses parents. Faire comme s’il était seul, pour n’offrir personne à atteindre en vengeance.

Il roule légèrement des épaules et se replace, en extrême concentration. L’ordre va être donné. L’agent du Mossad en liaison sur le terrain a estimé les cibles à moins de vingt secondes de leur emplacement.

Dix secondes.

Trois.
Deux.
Un.


La cassette crachote son rythme dans le lecteur intégré à la voiture.

Un cure-dent au coin des lèvres, il reste accoudé à la fenêtre entrouverte, met la sirène en marche, et démarre.

« Attache ta ceinture, gamin. »

C’est pas péjoratif, ni rabaissant. Il a beau ne jamais avoir été très doué pour l’instruction ne jamais avoir été très patient et être sévère, il est compréhensif et juste. Et le gamin à côté s’accroche à la portière, en essayant de comprendre pourquoi Bartle lui a dit qu’il confierait sa vie à ce type les yeux fermés. Pourquoi on ne tarit pas d’éloges sur cet étrange énergumène. Et pourquoi toujours cette cassette, pourquoi l’écouter en boucle, sans s’en lasser.

Peut-être pressent-il qu’il n’aura pas la moindre réponse. Et qu’en ce qui concerne la cassette ce n’est pas le moment. Que ce ne sera jamais le moment. Il y a des choses qui ne s’expliquent pas, et cette putain de cassette en fait partie. Le reste aussi.


La cassette crachote son rythme et il ferme les yeux.

Premier soir de liberté depuis des années. Premier soir à pouvoir enfin faire ce qu’il a envie. Et il ne s’est pas privé. La bouteille de whisky hors de prix trône sur la table basse de cet appartement miteux qu’on lui a refilé, le temps qu’il s’en trouve un. La musique s’élève, traînante. Et il se délecte d’en entendre la moindre note, après des années au fond d’un trou, à ne plus pouvoir l’écouter.

Il a bien failli ne plus y avoir le droit. Même si l’écouter une ultime fois aurait sûrement été sa dernière volonté.

Cette fois, il a bien failli ne pas s’en tirer. Mais pour le moment, c’est du passé ; du passé en sursis, qui peut revenir le cueillir comme une fleur s’il fait le moindre faux-pas. Si rapidement. Si facilement.

Si fatalement.


La cassette crachote son rythme, sans parvenir à s’user.

Le Clochard s’est couché sur le canapé à ses côtés, et a posé sa grosse tête sur ses genoux. Les autres chiens se sont étalés un peu partout dans le salon, autour d’eux. Il les observe quelques instants, flattant machinalement le gros corps poilu calé à ses côtés. Il s’autorise à passer une soirée un peu plus détendue. Un verre ou deux. La chaleur de ses chiens et de la ville, à défaut d’avoir celle d’une femme pour rendre la vie moins longue et douloureuse.

Il a compris depuis longtemps qu’il était foutu, et qu’il ne pourrait plus échapper à ce qu’on a fait de lui. Alors il se contente de continuer d’avancer, traînant sa lourde et encombrante carcasse dans la direction qu’on lui indique. Il n’y a bien que ça à faire pour survivre, dans ce putain de monde, ces derniers temps.

Ça, et écouter cette putain de cassette en boucle. Jusqu’à ce qu’elle finisse par rendre l’âme, ou qu’on décide qu’il ne doive passer l’arme à gauche avant elle.

fiche (c) elephant song.
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Alma Everett
Alma Everett
admin ○ nightcall


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MessageSujet: Re: we all gotta die of something. (maddox)   we all gotta die of something. (maddox) EmptyVen 11 Sep - 22:19

B'jour boucle d'ours, t'es pas mal du tout tu sais. we all gotta die of something. (maddox) 1988411367 we all gotta die of something. (maddox) 3524911051 En plus t'écoutes de la bonne musique. MERCI QUI ? we all gotta die of something. (maddox) 2635358782 we all gotta die of something. (maddox) 2635358782  


CONGRATULATIONS
bienvenue dans les rangs !

Bonjour, Maddox, et bienvenue dans ma ville. J'ai entendu dire que tu avais fait les mauvais choix, et que tu t'étais laissé prendre dans l'engrenage. Ôtant des vies au nom de contrats, ne gardant la tienne sauve que pour devenir un pion de la prétendue justice. Fais attention à toi. Nos erreurs finissent toujours par nous rattraper.

Félicitations, mon brave. Tu t'en doutes sûrement, mais si tu vois ça, ça veut dire que tu es enfin officiellement des nôtres, avec une jolie couleur et tout le package.    Nous t'invitons par le biais de ce petit formulaire à passer par la suite dans quelques sections importantes pour ton intégration au forum et au jeu. Nous, on s'occupe de recenser ton avatar et ton pseudo, mais si tu veux recenser ton métier, ton logement, ton numéro de téléphone ou ton adresse mail, c'est à toi de le faire !   On t'invite également à aller faire un tour du côté des fiches de liens, pour te trouver plein de copains, ainsi que des rps. N'hésite pas non plus à remplir notre partie scénario de tes idées ! Et n'oublie pas d'aller voter pour nous toutes les deux heures, histoire de ramener encore plus de potentielles victimes pour notre tueur d'amour ! Faut bien le nourrir, le petit.

Et surtout, si tu as la moindre question, n'hésite pas à t'adresser à Fred (ou Maddox), Alma (ou Quinn), Judith (ou Elijah), ou bien Alison (ou Aslinn) ! I love you
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