Sujet: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Ven 28 Aoû - 20:42
NOORA ALPHÉE ACKLIN only god forgives
it's a good life
• âge et naissance › vingt-cinq ans. de cette génération qui a grandi beaucoup trop vite, il y a deux ans. de ceux qui ont été marqués par la tragédie, et qui s'en souviendront toute leur vie. elle est née au jour et au mois de votre convenance, dans la ville de votre choix. • profession › au choix. probablement étudiante, en droit ou en médecine, et travaillant à côté. ses études peuvent dater d'avant l'ouragan, ou avoir été motivées par lui. • situation amoureuse et orientation › complètement au choix. • situation financière › plutôt moyenne. elle ne roule pas sur l'or, mais c'est une fille suffisamment bosseuse pour pouvoir s'en sortir financièrement, faire face aux difficultés financières, et se restreindre lorsqu'il le faut. • groupe › wish someone would care.
• traits de caractère › téméraire, travailleuse, impliquée, investie, maligne, curieuse (trop), bornée, franche, féministe, à l'écoute, archarnée. • faits divers › noora a toujours été une gamine éprise de justice. petite, elle voulait devenir wonderwoman, ou batgirl. une super-espionne de la cia qui rétablirait la paix dans le monde, et aiderait à enterrer ses morts. et puis, elle a grandi. • son enfance est plutôt au choix, mais n'hésitez pas à y inclure des éléments qui motiveraient ce sens de la justice, cette envie de faire régner l'ordre et respecter la loi. sans doute un père ou une mère flic. voire même les deux. • elle a rencontré son meilleur ami quand elle n'était encore qu'une jeune adolescente, un peu perdue. une batman ayant besoin de robin pour lui rappeler ses défauts, et pour l'aider à ne pas se mettre la barre trop haut. il a toujours été sa raison d'être, et ils se sont acceptés comme ils étaient, avec leurs défauts. • il souffrait de bipolarité et de paranoïa légère, mais noora le calmait. elle arrivait à faire ressortir les bons côtés, et à l'apaiser. pour elle, il était comme un frère. • en 2005, lorsque katrina a frappé, on leur a dit d'évacuer la ville. de foutre le camp. mais il a refusé. sa mère était malade et ne pouvait pas bouger, et il n'en a pas démordu. il voulait rester. pour elle, hors de question de partir et de le laisser. elle aurait voulu le sauver ; et si elle ne pouvait pas, alors elle aurait préféré mourir avec. • lorsque le niveau de l'eau a commencé à monter, ils se sont réfugiés à l'étage. puis lorsqu'est venu le temps d'aller au grenier, la situation s'est compliquée. il n'a pas pu emmener sa mère, et elle ne voulait de toute manière pas être sauvée. noora a réussi à lui faire entendre raison, et a promis à sa mère de le protéger. ils se sont terrés sous les combles et ils ont pleuré, des heures durant. ils ont attendu que la tempête passe. et puis ils ont crié, en espérant que les secours arrivent. à moitié morts de faim, à moitié morts de soif. ils ont bien cru qu'ils finiraient par y passer. ils ont perdu la notion du temps, la notion des jours. • et un jour le toit a été percé. le visage de l'homme leur est apparu, et il les a aidés à sortir de là. il les a ramenés, en sécurité, au camp de secours. et on s'est occupé d'eux. ils étaient tirés d'affaire. le cauchemar était fini. ou presque. • septembre s'est écoulé, octobre après lui. et soudain, un beau jour de novembres, plus de nouvelles. noora s'est retrouvée seule. elle a voulu prévenir la police mais on ne l'a pas écoutée. elle a crié au loup, mais tout le monde s'en foutait. pourtant, dans son esprit, c'était clair : il ne serait jamais parti comme ça, ne l'aurait jamais abandonnée. on l'avait enlevé. on lui avait fait du mal. alors elle est allée voir les seules personnes en qui elle avait réellement confiance, celles grâce à qui elle s'en est sorti après katrina. et elles l'ont écoutée. elles ont tout fait pour l'aider. mais la police, elle, ne voulait rien entendre. ah, elle a bien ri et bien pleuré, noora, quand l'officialisation d'un tueur en série s'est faite. elle l'avait compris depuis bien longtemps, elle l'avait deviné bien avant eux. • elle les a détestés de ne pas l'avoir écoutée, et son syndrome du super-héros a noirci. elle avait perdu sa raison de continuer, mais elle n'abandonnerait pas. elle avait failli à sa promesse, mais elle la ferait à d'autres. si elle n'avait pas pu le sauver lui, elle en secourrait d'autre. ce n'était pas une option dans sa vie. ça n'en a jamais été une. sauf que cette fois, la paix non plus n'est plus une option. si vis pacem, para bellum. (note : le meilleur ami de noora a disparu pour la deuxième session de jigsaw, à cause de sa bipolarité et de sa paranoïa.)• célébrité › kaya scodelario. • crédit › cripsow.
kids these days
• fred kovacs. fred l'a prise en charge après l'ouragan, lorsqu'elle est arrivée au camp de secours avec son ami. ils ont été séparés pour être examinés par des médecins. noora a été auscultée par fred. et fred l'a faite parler, lui a fait raconter ce que la jeune femme voulait bien raconter. noora lui a tout dit, a exprimé son traumatisme. lui a parlé de cet homme qui les a ramassés, avec son meilleur ami. et fred a été intriguée. fred a posé des questions, et a senti l'espoir grandir, dans sa poitrine, dans son ventre. l'espoir que cet homme était harlan, un espoir que noora n'a jamais démenti. elle lui a demandé de l'excuser un instant, et un autre médecin est venu la remplacer. et fred a retrouvé harlan, et s'est toujours considérée comme redevable. aussi, lorsque noora est revenue voir fred avec des soupçons sur la disparition de son ami, la belle rousse n'a pas hésité une seule seconde à se pencher plus franchement sur l'affaire. c'est noora qui a allumé le petit signal d'alerte dans la tête de fred, petit signal d'alerte qui a ensuite engendré ses soupçons sur un tueur en série. soupçons qui se sont avérés fondés. c'est grâce à noora que fred a commencé à rassembler des dossiers, et à taper du poing sur la table. et en cela, elle ne considère pas sa dette réglée. elle ne la considère qu'un peu plus élevée. grâce à noora, elle a retrouvé harlan, et elle a eu des soupçons sur l'existence du tueur au puzzle. alors si un jour la petite a besoin d'aide, elle sait à qui elle peut s'adresser. elle sait qu'elle peut venir voir fred, et lui demander ce qu'elle veut. tout ce qu'elle veut. elle sait, au fond d'elle, que les kovacs gardent un oeil sur elle. qu'ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour l'aider. et quand fred se prend de bienveillance pour quelqu'un, elle ne lui laissera jamais rien arriver. jamais.
passages de ma fiche :
{camp de secours, la nouvelle-orléans, 2005}
Elle n’avait jamais imaginé qu’un jour, l’horreur se répéterait. Qu’elle se retrouverait dans la position d’incertitude où lui avait été. Ne pas savoir si ç’avait été la mort ou la vie, si elle était désormais veuve ou toujours mariée. Mariée à cet homme si particulier, qui l’avait fait vibrer dès les premières minutes, les premières heures. Cet homme qui lui ressemblait, plus que n’importe qui d’autre, et qui la comprenait. Cet homme qui, peut-être, était mort.
Ne pas y penser. Continuer de panser, continuer de rassurer. De faire en sorte que si lui était mort, tous ces gens qui défilaient sous ses yeux ne le rejoignent pas six pieds sous terre. Faire en sorte d’être celle qu’il aimait, qu’il avait toujours aimée. Celle qui ne s’arrêtait jamais devant rien. Pas même devant la peur ou la mort.
La petite s’appelle Noora. Elle lui a demandé, et la petite voix chevrotante qui lui a répondu lui a fendu le coeur. Elle se concentre sur elle, et sur la large balafre le long de son flanc. Elle l’a interrogée sur la provenance de sa blessure, pour la faire parler, lui faire penser à autre chose. Elle s’appelle Noora, et elle était coincée dans les quartiers inondés. Elle n’a pas voulu évacuer, elle a refusé de laisser son meilleur ami là, et lui ne voulait pas partir, ne voulait pas laisser sa mère. Quand elle a réussi à le convaincre de foutre le camp, c’était trop tard. Ils ont été bloqués, l’eau a envahi la maison. Ils ont dû monter jusqu’au grenier, jusque sous les combles. Et ils ont attendu que l’orage passe, attendu que la tempête ne s’éloigne, que l’ouragan ne se taise. Tétanisés, tremblants. Ils ont attendu, et tout s’est arrêté. Ils étaient bloqués, incapables de sortir, incapable de bouger. Ils ont attendu encore, et encore. Et puis quelqu’un est venu, après un temps qu’ils ont cru être celui d’une vie. Quelqu’un est venu, quelqu’un qu’ils n’espéraient plus. Quelqu’un qui a crevé le toit, et qui les a sortis de là.
Elle l’écoute parler, l’écoute raconter, évacuer son coeur et son âme, se purger de ce qui lui est arrivé. Elle l’écoute en recousant sa plaie, doucement, avec une attention et un soin tout particuliers. Elle a peut-être arrêté de se faire payer à soigner, mais elle reste médecin, médecin sans frontières, et le serment d’Hippocrate est prêté à vie. Alors elle a laissé l’appareil photo dans un coin et elle s’occupe des blessés. Les compresses ensanglantées s’accumulent, les gants sales dans la poubelle aussi. Elle écoute les complaintes des écorchés, elle tente de rassurer les inquiets, de soulager les stressés, de calmer les anxieux. Et Noora s’est apaisée, petit à petit. Elle parle de son sauveur. De ses cheveux noirs, de ses yeux d’un gris bleuté. De son caractère d’ours et de son silence. Et Fred, elle a le coeur qui s’emballe. Elle relève les yeux vers la petite, et elle s’entend demander, sans pouvoir le contrôler :
« Comment il s’appelle ? »
Noora ne sait plus vraiment. Harry, Arthur. Quelque chose qui commence par « ar ». Harlan, peut-être. Oui, c’est peut-être ça. Elle ne sait pas.
Mais Fred, ça lui suffit. Fred, elle a le coeur qui va éclater, le ventre qui se tord. Elle a le cerveau qui disjoncte sous la vague d’espoir qui l’envahit, et elle finit de recoudre la plaie en essayant de ne pas trembler, de ne pas perdre son professionnalisme. Et puis, quand c’est fini, elle lui demande où il est. Où il est allé. Ce qu’il a fait. Noora dit qu’il voulait repartir. Retourner sur son bateau de fortune, aller chercher d’autres rescapés. Mais elle dit qu’ils ne l’ont pas laissé faire, qu’il était blessé. Alors Fred, elle sent la panique monter. Elle a le coeur qui s’accélère encore, et elle dit à Noora de prendre deux de ces cachets pour éviter l'infection, elle lui dit qu’elle revient, qu’il ne faut pas qu’elle bouge, et que si un médecin la cherche, il faut qu’elle lui dise qu’elle est partie prendre sa pause. Et elle file, Fred. Elle file comme le vent, entre les tentes, elle slalome, elle regarde. Les blessés, les errants, les âmes en peine et les regards dévastés, égarés. Et soudain, elle le voit.
Elle ne réfléchit pas, ses pieds courent, courent vers lui, courent vers sa vie. Elle a les muscles tétanisés et les genoux qui tremblent, mais ses jambes la portent. Et il l’a vue. Il a le temps de faire un pas. Deux, même. Et elle sent ses doigts, ses doigts abîmés par les éléments et par la vie, se glisser dans ses cheveux, sur son crâne. Ses doigts qui s’accrochent, une main sur sa tête, l’autre sur la chute de ses reins. Elle sent son coeur exploser et le soulagement sur le point de la faire défaillir. Il est vivant, et il est là. Son attente à elle est terminée. Il est blessé, mais ça lui est égal. Il n’y a rien d’autre que de le voir entier qui compte, pour l’instant.
Et elle ferme les yeux, le nez dans son cou, son odeur plein les poumons. Elle ferme les yeux et l’espace d’un instant, elle oublie les relents de mort et de terreur, d’inquiétude et de désespoir, pour savourer le goût du soulagement inespéré.
Le goût si doux de la vie.
{la nouvelle-orléans, 2007}
Sa main frappe la table avec une violence sans égale. Malgré la douleur, elle la ramène vers son visage, cache son oeil droit de sa paume, et laisse ses ongles se planter dans son front. Sa main gauche l’imite bien vite, et ses coudes restent vissés sur la table. Sa mâchoire se contracte, et elle laisse la frustration s’évacuer d’elle-même. Sa main la brûle, la douleur lui fait penser quelques instants qu’elle s’est peut-être cassé un doigt. Mais cette histoire la rend folle. Complètement folle.
Elle s’efforce de respirer plus calmement, et de découvrir ses yeux. Ses mains se calent sur ses joues, couvrent sa bouche. L’espace d’une seconde, elle se demande si elle va être capable de rester là ce soir. Toute seule. À errer comme une âme en peine, tous ses articles bouclés, toutes ses petites chroniques finies depuis plus d’une heure. Les photos enregistrées et prêtes. Plus rien à faire, à part tourner en rond comme une putain de lionne en cage. Et la bête rousse vire folle, dans ce microscopique appartement, avec l’idée de ce mal qui rôde dans les rues, insaisissable. Elle enrage de ne rien pouvoir faire, et que personne ne fasse rien de plus. Elle trépigne mais elle n’a pas le choix, et elle sait qu’elle ne peut pas faire grand-chose. Pas pour l’instant.
Elle pense à Noora. À la ferveur de la gamine, à toutes les preuves qu’elle lui a fournies, jusque dans les moindres déplacements de son meilleur ami. Elle repense à son implication et à la confiance qu’elle a placé en elle. Elle la revoit lui demander de l’aide, se revoit lui dire qu’elle découvrira ce qui s’est passé et qu’elle rendra justice à son ami. Lui dire qu’elle lui doit bien ça, pour l’avoir aidée à retrouver son mari. À retrouver sa vie.
Elle pense à Noora, et ça la rend folle. Cette gamine qui a tout perdu, mais qui continue de se battre comme une lionne, jour après jour. La vérité, maintenant, tout le monde la connaît. Y a un tueur qui s’promène dans les rues, un espèce de timbré qui enlève des gens, et que la police n’arrive pas à attraper. Elle en a parlé à Jo’, et il ne sait rien. Personne ne sait rien. Rien d’autre que ce que les survivants ont déclaré. Et eux-mêmes ne savent pas grand-chose.
Elle se lève et sa chaise tombe. Elle la redresse, fébrilement, un peu violemment, et elle va attraper son téléphone. Il faut qu’elle l’appelle, il faut qu’elle le voie. Ses doigts pianotent sur le comptoir. Il ne répond pas. Il ne répond jamais quand il faut, celui-là.
Tant pis. Elle attrape son téléphone portable, sa veste. Elle enfile ses chaussures en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, siffle Miss Parks qui accourt au petit trot. Et elle sort. Elle va aller jusqu’à sa putain de péniche pour le trouver. Et s’il n’y est pas, tant pis. Au moins, là-bas, elle ne sera pas chez elle. Elle ne sera plus enfermée au milieu de ses pensées, au milieu d’un cauchemar duquel elle n’arrive pas à sortir. Au moins, là-bas, y aura son odeur partout. Le calme des quais, la tranquillité de l’eau. Elle sera loin de sa cage, en sécurité dans celle d'un autre. Pour peu qu’il reste un endroit dans cette putain de ville où l’on soit réellement en sécurité.
La nuit l’avale, et elle file. Le chien sur ses talons guette le moindre geste suspect de la part des passants. Miss Parks est un amour, mais les roses ont des épines. Et elle n’aurait pas pu garantir à un petit con qu’il récupèrerait tous ses doigts s’il essayait de lui faire du mal, à elle ou à Harlan.
Les quais sont calmes, la ville dort. Elle a l’impression que tout est éteint, et que la peur force les gens à rester chez eux. Pourtant, ça ne les sauvera pas. Ça ne protègera personne. Il a les clés de toute la ville, de toutes les voitures. Il est partout à la fois, et rien ne les sauvera.
La péniche est vide. Pas de Harlan, mais pas de cinglé non plus. Elle ferme la porte à clé. Elle sait qu’il en a une aussi. Elle laisse une petite lampe allumée, non loin de l’entrée. Elle se faufile jusque dans la chambre. Sa veste tombe dans l’entrée, son pantalon dans le couloir. Suivi de près par son t-shirt. Et une fois dans la chambre, ses sous-vêtements rejoignent la moquette. Elle se glisse dans les draps sans se préoccuper de quoi que ce soit d’autre. Miss Parks saute au bout du lit. Si Harlan la trouve là, il va grogner. Mais elle, ça lui est bien égal. Elle sait que la chienne dormira sur le tapis quand son maître rentrera ; quand son mari la rejoindra.
Elle n’éteint pas les lumières. Laisse tout allumé. La fatigue lui est tombé dessus sans qu’elle ne s’en rende compte. Elle avait prévu de l’attendre, mais dès qu’elle a eu fermé la péniche à clé, elle a senti qu’elle ne tiendrait pas. Alors elle s’allonge, ramène les draps sur sa peau fraîche, s’autorise un long frisson. Elle change de côté et quitte le gauche pour le droit, parce qu’elle sait qu’Harlan dort à droite lorsqu’il est seul. Et que lorsqu’ils sont deux, il dort là où il lui reste de la place. Elle ferme les yeux, le nez dans l’oreiller, les pensées agitées.
Les rêves qui peupleront son sommeil ne seront ni doux ni réconfortants. Ils ne lui apporteront ni calme ni sérénité. Si elle a un peu de chance, peut-être seront-ils seulement sombres, ou bien vides. Sinon, ce ne sera qu’une nuit de plus à passer, une nuit de plus à dormir. Parce que le corps en a besoin, et qu’il ne lui en laisse pas le choix. Si ça ne tenait qu’à elle, elle resterait éveillée. À tout jamais.
Éveillée pour se battre, éveillée pour lutter. Lutter contre la misère de cette ville, et la peur dans le coeur des gens.
Lutter pour savoir ce qui est vraiment arrivé à l’ami de Noora, lutter pour ramener la vérité à Elijah, l’aider à passer à autre chose et à lui rendre l’envie de s’occuper de ses enfants. Lutter, coude à coude avec Alma et Harlan, pour que les choses s’arrangent, ne serait-ce qu’un peu. Pour que demain soit meilleur qu’aujourd’hui, même si ce n’est qu’à une petite échelle ; qu'à leur échelle.
Miss Parks soupire, mais Fred ne l’entend plus. Elle n’entendra même pas Harlan rentrer. Son corps s’est endormi et son esprit s’est éteint, avec l’espoir que demain, quelque chose aura changé.
Pourtant, elle le sait : demain, rien n’ira mieux.
• harlan kovacs. harlan l'a trouvée. c'est grâce à lui si elle s'en est sortie, après l'ouragan. elle avait réussi à se réfugier au grenier d'une maison, avec l'un de ses amis. et ils attendaient, criant à l'aide, transis de faim, de peur. lorsque leurs espoirs ont commencé à progressivement s'éteindre, ils l'ont entendu leur répondre, et commencer à percer le toit. il les a fait monter à bord de sa précaire embarcation, parmi d'autres. et il les a ramené au camp de secours, où il les a laissés. elle lui est éternellement redevable, et harlan l'est aussi. et ils se sont revus, plus tard. contre toute attente. elle est venue voir fred pour lui parler de ce qu'elle a supposé être l'enlèvement de son ami ; l'ami qu'harlan a sauvé en même temps qu'elle. elle est venue demander de l'aide au couple kovacs, et ils l'ont prise en charge. elle sait qu'elle peut compter sur eux, et ils savent que s'ils ont besoin, la petite fera tout pour les aider. mais ils ne lui demandent rien. ils font attention. la surveillent de loin. comme une petite soeur, sur laquelle on garde un oeil.
fiche (c) elephant song.
Fred Kovacs pnj ○ been to hell
○ messages : 413
Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Ven 28 Aoû - 20:51
come with me now
SALUT TOA.
tout d'abord, un grand merci si tu t'intéresses à mon scénario. noora est vraiment importante pour fred et harlan, et on espère qu'elle le sera aussi pour toi. du coup, voilà un peu de blabla chiant pour te donner un aperçu de nos attentes/exigences ; mais t'en fais pas, on n'a jamais mangé personne. et puis, dans le fond, tout est un peu négociable, pourvu que tu aies des idées et qu'on en parle.
avatar › plus ou moins négociable. en fait, j'avais mis sophie cookson à la base, et j'avais même pensé à alycia debnam-carey, avant d'opter pour kaya. quoi qu'il en soit, je veux une fille qui soit mignonne mais pas trop poupée. une fille qui a du caractère quand même, quoi. je me réserve un droit de véto, mais en général, je suis pas chiante ; pourvu que tu sois à l'aise avec le visage que tu joues.
pseudo › en partie négociable. pour le prénom, j'aimerais si possible qu'il reste tel quel ; je l'aime énormément, et je l'ai mis dans ma fiche. et je le trouve comme elle, doux mais avec du caractère. mais en soit si tu le détestes vraiment, tu peux changer. pareil pour le nom de famille, je l'aime bien, mais tu peux aisément le modifier, ça m'est égal. (et il va sans dire que le second prénom est complètement négociable)
personnage › beaucoup d'éléments du personnage sont négociables, en ce qui concerne son passé avant l'ouragan notamment. par contre, pour ce qui est de tout l'épisode de Katrina, et ce qui va après, ce n'est pas négociable. ça va avec les liens, et c'est rédigé dans mon histoire. c'est l'essence du personnage. mais tant que tu la gardes, après, tu peux tout à fait broder pour bon nombre de modif'.
autres › je rp en général entre 500 et 1000 mots, mais pour être tout à fait honnête, je fais pas gaffe à la longueur. je rp comme j'ai envie de rp, et un peu à mon rythme, parce qu'on est là pour s'amuser. j'attends pas de toi que tu rp comme une bête avec un rythme d'acharné (mais tu peux le faire, ça me dérange pas non plus ). juste que tu t'amuses. et que si tu changes d'avis et que tu ne veux finalement plus jouer le perso, que tu me le dises et que tu ne partes pas comme un voleur. tu vois, chuis pas compliquée.
voilà, j'espère ne pas trop d'avoir dégoûté(e) ou quoi. et j'espère que le scénario t'intéresse toujours. si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à venir me voir, je mange pas, bien au contraire, et puis je serais super heureuse de t'aider. et quoi qu'il arrive, JE T'AIME DÉJÀ.
fiche (c) elephant song.
Noora Acklin kill of the night
○ messages : 24
Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Lun 14 Sep - 21:44
coucou. je débarque et je m'installe, si tu permets. (enfin please, si tu veux bien de moi. je voulais juste caser ce chat, il est trop cute. )
Fred Kovacs pnj ○ been to hell
○ messages : 413
Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Lun 14 Sep - 22:31
ma nooraaaaaaa. bien sûr que je veux de toi, yo, je suis tellement contente de voir ma petiote tentée. hésite pas à me harceler si tu as besoin de quoi que ce soit, mon chaton. (ouais je kiffe le grumpy cat aussi, sous reese et maddox c'est mon smiley préféré. )
Noora Acklin kill of the night
○ messages : 24
Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Mar 15 Sep - 20:19
je vais venir te harceler très bientôt, promis. un dernier pour la route.
Reese Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 634
Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Mar 15 Sep - 20:21
C'est pas le bon compte, mais flemme de changer. je t'attends de pied ferme.
(Et puis le grumpy cat va tellement à Reese, c'presque mieux. )
Reese Jackson admin ○ nightcall
○ messages : 634
Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum. Mer 16 Sep - 21:45
scénario pris.
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Sujet: Re: (F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum.
(F) KAYA SCODELARIO ○ si vis pacem, para bellum.
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